Ah, la bureaucratie, ce doux ballet de papiers et de signatures, qui fait ressembler la vie à une expérience kafkaïenne ! Croyez-le ou non, il y a eu encore un autre arrêté sur ces chers contrats d’apprentissage. Mettez-vous bien, voici le débrief.

Le 17 août dernier, nos fonctionnaires bien-aimés, chargés de la Formation pro et du Budget, ont pondu un nouvel arrêté, parce que, visiblement, celui de 2022 ne couvrait pas assez de cas. Quelle surprise, hein ? Cette nouvelle perle législative, publiée au Journal Officiel le 20 août, intervient pour… accrochez-vous… compléter l’arrêté précédent du 31 août 2022. Vous me suivez toujours ? Non ? Pas grave, on continue.

Alors, dans cette version 2.0 de l’arrêté de carence, on a enfin une idée des « niveaux de prise en charge des contrats d’apprentissage » pour les certifs qui, tenez-vous bien, « ne disposent pas d’un niveau de prise en charge au 25 janvier 2023. » Traduction : si votre branche a fait la sourde oreille aux recommandations de France compétences, cet arrêté vous met au pas.

D’ailleurs, parlons de France compétences ! Cette entité, qui doit probablement fonctionner à base de caféine et de débats sans fin, a recommandé des trucs le 25 mai dernier. Et ils ne s’arrêtent jamais, ces petits bosseurs ! Ils ont encore publié des recommandations le 19 juillet et une mise à jour le 24 août. Le 21 août, ils ont dit : « Les nouvelles règles, c’est pour demain, les amis ! »

Ah, et pour ceux qui aiment les détails croustillants, cette dernière mouture du référentiel n’inclut pas les niveaux de prise en charge encore en révision. Pour ça, on attend probablement un autre arrêté, une autre danse de la plume administrative, et qui sait, peut-être même une chorégraphie complète !

Alors voilà, c’était la dernière saison de « Les aventures bureaucratiques des contrats d’apprentissage ». Restez à l’écoute pour la suite, parce que vous savez qu’il y en aura une !